Le grand frère d'ALGA s'appelle DiMark

Le projet DiMark est très proche du projet ALGA mais il opère à une échelle plus grande. De nombreux lacs alpins (autres que le Léman) sont effectivement confrontés à des défis anthropiques liés aux pressions touristiques et à l’eutrophisation, qui s’aggravent au fil du temps avec le changement climatique. Les proliférations fréquentes de cyanobactéries et d’algues causées par l’eutrophisation rendent les eaux impropres à la boisson, aux loisirs et à l’industrie. Les proliférations s’accompagnent d’une diminution de la biodiversité et d’un appauvrissement en oxygène, ce qui pose un risque pour l’écosystème aquatique ; Les cyanotoxines dans les proliférations présentent également un risque pour la santé. Les défis mentionnés ci-dessus peuvent être relevés à l’aide de solutions satellitaires novatrices et d’une meilleure coopération entre les milieux universitaires et les décideurs. Orlane Anneville et Stéphan Jacquet, fortement impliqués dans le projet ALGA, sont également associés au projet Dimark qui vient de publier sa première newsletter.